spectacle : Ah mon amour

Synopsis

Ce cabaret intime célèbre avec malice les différentes facettes de la séduction féminine !

A travers un répertoire de chansons de Boris Vian, Colette Renard, Henri Tachan, Brigitte Fontaine…et bien d’autres, Geneviève Voisin revisite un siècle d’érotisme et de sensualité avec la complicité de son pianiste, Philippe Libois. La chorégraphe Laurence Crémoux y signe une mise en scène minutieuse et pétillante.

Ici tout est possible, tout est permis, pourvu que ce soit drôle et jamais vulgaire.

Ce spectacle compte déjà plus de 175 dates à son actif et a été élu « Coup de cœur » des programmateurs au Festival Propulse 2008.

 

Durée : 70′

Public : Adulte

Catalogue « Art et Vie » : 1890-1

 

Carte interactive de tournée (dates rouges) :

 

LE MOT DE GENEVIEVE VOISIN

 

Le spectacle Amour et Grivoiseries a une double vocation : le plaisir (des interprètes et du public) et la célébration de l’éternel féminin. À l’époque où j’ai conçu le cabaret, j’étais préoccupée par la question de l’Erotisme dans son sens noble et la libre circulation – ou non – de cette énergie fondamentale. Le théâtre n’étant qu’un prétexte, un outil pour questionner un sujet, j’ai voulu créer alors une forme de micro-résistance face aux tabous, à la gêne ou la culpabilité que nous vivons encore actuellement.

Je pense que le bonheur est un droit fondamental, qu’il est même la finalité de l’existence. Dans un monde idéal, nous devrions tous œuvrer au « plus grand bonheur du plus grand nombre » (formule de Joseph Priestley, théologien et philosophe anglais du 18e siècle).

Afin de créer ce spectacle, j’ai adoré me plonger dans l’humour délicieux et jamais vulgaire des chansons du siècle passé pour concevoir ce spectacle. Je sentais que la forme du cabaret me permettrait de puiser dans les différentes disciplines que j’avais côtoyées : en tant que comédienne et chanteuse, collaborer avec une chorégraphe plutôt qu’un(e) metteur en scène m’a permis d’enrichir l’univers théâtral des chansons par une occupation de l’espace et un dessin du corps propres à la précision des danseurs.

Après de nombreuses représentations (plus de 175), principalement en Belgique, c’est toujours pour moi un pur bonheur que de jouer Amour et Grivoiseries. Parce que je m’y amuse beaucoup et parce que je sens que ces délicieuses chansons émoustillent et ravissent des publics très différents. C’est parce qu’il est un puissant transmetteur d’en-Vie que j’aime passionnément ce métier ! 

Geneviève Voisin


Distribution

Conception et interprétation Geneviève Voisin

Piano Daniel Barbenel

Mise en scène Laurence Crémoux avec le précieux regard de Maud Finné et Hélene Pirenne

Scénographie et costumes Bernadette Roderbourg

Régie générale Nicolas Poels


Teaser


CD


Les chansons du cabaret intime, interprétées par Geneviève Voisin (voix) et Philippe Libois (piano) sont réunies sur un album 16 titres, disponible au prix de 14€ (expédition en Belgique) ou 15€ (expédition en France).

Pour le commander :

1. Envoyer un mail à diffusion@cie-ahmonamour.com, en mentionnant vos coordonnées postales (nom, prénom, adresse, numéro, cp, localité et pays) ainsi que le nombre d’exemplaires désirés.

2. Verser la somme correspondant à votre commande sur le compte

IBAN : BE04 5230 8018 5531
BIC : TRIOBE91

L’album vous sera adressé dès réception de votre paiement.

Liste des chansons :

1. Amusez-vous – Heymans/Guitry/Willemetz (1934) / 2. On vient d’ me l’ faire – Sandrey (ca. 1930) / 3. Les amis de Monsieur – H. Fragson (1902) : 4. Les nuits d’une demoiselle – C. Renard (1963) / 5. Ouvr’ la fenêtre – Prévost/Montier (1930) / 6. Je ne suis pas une énervée – Lucchesi (1950) / 7. La complainte du progrès – Vian/Goraguer (1955) / 8. Dévaste-moi – B. Fontaine (1966) / 9. Fais-moi mal, Johnny – Vian/Goraguer (1956) / 10. Les z’hommes – Henri Tachan (1975) / 11. La pipe à pépé – Henri Tachan (1979) / 12. Ah ! Dis donc, dis donc ! – Breffort/Monnot (1956) / 13. Enivrez-vous – Baudelaire sur un prélude de Bach / 14. Le tango stupéfiant – Carcel/Cor/Olive (1936) / 15. Ça vaut mieux que d’attraper la scarlatine – Hornez/Misraki (1936) / 16. Ah, vous dirais-je maman ! C. Renard (1967)


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